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2020 – Le programme de l’institut Paul RICARD (situé sur l’île des embiez – LE BRUSC) a eu comme bénéficiaire son gros « sponsor » : la principauté de Monaco. En effet, les hippocampes élevés n’ont pas été réintroduits dans la lagune du Brusc, mais dans la réserve de Larvotto à Monaco.
Nous, on veut suivre
Le projet Hippo-THAU a été initié en 2005 par l’association Peau Bleue afin d’étudier les hippocampes de la lagune de Thau, à Sète.
Le projet s’appuie sur une démarche de sciences participatives afin d’impliquer les plongeurs, les scolaires, les habitants, les pêcheurs, et autres volontaires dans la collecte d’informations et de connaissances. Différents suivis ont été mis en œuvre afin de collecter des données complémentaires sur les espèces, leurs habitats et d’impliquer l’ensemble des usagers du territoire dans ce projet.
A travers l’hippocampe, animal emblématique du milieu lagunaire, il s’agit aussi de sensibiliser les publics à la fragile diversité de l’écosystème et la nécessité de le préserver.
L‘institut de recherche Paul RICARD a déjà procédé à des élevages et de relâche en milieu naturel. Il effectue un suivi de l’état écologique de la lagune de LE BRUSC. Nous sommes en contact avec eux pour définir les contours d’une nouvelle action dans ce sens pour la lagune, et uniquement la lagune.
C’est possible car les cousins des hippocampes (syngnates) sont encore présents dans la lagune. Donc ça veut dire qu’il y a encore de la nourriture pour les hippocampes.
Mais la cymodocée (herbe marine) a presque disparue. Hors elle indispensable pour que les hippocampes s’accrochent. Le combat commence donc par la restauration et la préservation d’un milieu naturel favorable aux hippocampes.
Cet aquarium a participé à un programme d’élevage et de réintroduction des hippocampes dans la lagune de THAU.
Il est un lieu d’exposition bien sûr, mais aussi un lieu pédagogique et surtout un refuge pour les espèces relâchées illégalement dans la nature. En effet, c’est une association qui le gère.
C’est aussi avec eux que notre association travaille pour le projet HIPPOBRUSC.
Une pouponnière à Limoges
Fini les puissances étrangères qui viennent piller nos animaux sacrés !
Si vous nous achetez des articles , si vous nous faites des dons, …. BREF : si l’asso gagne de l’argent c’est pour financer des initiatives de collecte de données sur la population des hippocampes dans la principauté LE BRUSC , de leur protection et pourquoi pas de leur réintroduction.
POUR EN SAVOIR +
c’est pas sorcier sur
les hippocampes de Thau
commencez à 21:47
LES LIENS POUR EN SAVOIR +
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